Matt Wertz, le réalisme surréel
Il y a des moments ou la résurrection douceâtre de quelques cheminements se fait malgré l’absence de raisons rationnellement tangibles, et d’autres ou la nostalgie retient chaque parcelle de l’être prétextant une photo regardée, un regard croisé, ou une chanson écoutée.
Quand la journée me paraît être aussi monotone que celles ou je me force de vivre avec le même sourire résigné, l’envie me vient d’écouter un de ces coups de coeur musicaux immortels, pour encore une fois, vivre ce bon moment.
C’est alors que Matt Wertz fait partie de ces chanteurs qui me jettent dans un état d’esprit que je préfère ne pas décrire plus exhaustivement aujourd’hui. Je me limite à vous proposer d’écouter dans un premier temps l’une des chansons qui m’ont le plus marqué.

Matt Wertz est un auteur-compositeur-interprète américain originaire de la ville de Tennessee, qui, après des études en design industriel, a choisi de se consacrer à la musique. et qui débutera par l’album Somedays, produit par Steve Wilson en 2001. Deux ans après, l’album Twentythree Places sort déjà, dont la piste la plus connue se trouve être Everything’s right.

L’artiste n’hésite pas à autoproduire son deuxième album Everything in Between, et la carrière de l’auteur commence à prendre de l’élan. Le talent ne tarde par à faire des effets dans Carolina, une chanson qui marque la spécificité et l’originalité dont font preuve les productions de l’artiste.

La discographie du chanteur atteint douze productions diverses, en concluant avec un dernier album intitulé Weights and Wiings qui est déjà sorti en 2011.
Pour plus d’informations, je vous invite à consulter le site officiel ou bien la biographie en anglais rédigée par l’artiste
Zineb El Boukili (Zineb El Boukili)